Collection Histoire Courte. J’Ai De Belles Cuisses (1/1)

- Christian, veux-tu nous accompagner dimanche à mon match ?
- Tu sais moi le foot !
- Je sais que c'est loin d'être ta tartine de confiture préférée mais ce serait pour faire le garde du corps de Léa.
- Le garde du corps ?
Tu me gattes quand je vois le corps de Léa.
- Christian, je te fais confiance, quand je dis garde du corps, c’est parce que nous allons jouer à Saint-Martin, le village rival du nôtre.
Celui qui gagne montera la saison prochaine.
Les gars du cru s’ils voient ma poulette risquent de l’embêter.
Ce serait un problème, chaque fois qu’elle vient nous gagnons et mes copains souhaitent qu’elle soit dans la tribune.
Avec ta carrure, nous ferons courir le bruit que tu es champion de karaté, je serais plus tranquille.
- Vu sous cet angle, je viendrais, je serais auprès de toi Léa dans la tribune.
- On part en car à 10 heures, Léa tu passeras chercher Christian à 13 heures ce sera suffisant pour être sur place une heure avant le match.
- Non, je prendrais ma voiture et ce sera moi qui passerais la chercher.
- Macho, tu es contre les femmes au volant.
- Nullement, ce serait toi Luis, je conduirais depuis que j’ai mon permis j’ai toujours conduit.
C’est d’accord Léa.
- Oui.

Léa, j’ai été présent à son mariage avec Luis, il est portugais du moins ses parents.
Il joue au Portugais de Saint-Bernard notre petite ville.
Pour son mariage, Léa avait une robe blanche qu’elle avait été loin de mériter, mais si d’autres ont été ses amants, le plaisir de gouter à ses charmes m’a toujours échappé.
Cette robe avait un bustier qui lui prenait le dessus des seins qu’elle a magnifique.
Au moins du 100 si elle mettait des soutiens-gorge, mais c’est un sous-vêtement dont elle ignore l’usage.
Pour mieux les représenter, lorsque nous étions sur la plage près de notre rivière, ses seins qu’elle avait dénudés ressemblaient à ceux de Clara Morgan.

Le dimanche, je suis à l’heure.
Je comprends qu’elle ait besoin d’un garde du corps.
Bustier rouge ras ses pointes de seins et montrant son nombril fort charment au demeurant.
Mini verte, ras la moule.
Chaussure à hauts talons mais plein ressemblant à du liège.
Rouge et vers, couleur du Portugal et couleur des maillots et des shorts de l’équipe des Portugais de Saint-Martin.
Une vraie supportrice.
Quand nous arrivons sans encombre car tout le parcours j’ai été à la limite de l’infarctus, ses cuisses qu’elle me montrait effrontément étaient à la limite de me faire bander.
Une grande partie du public peu nombreux malgré l’enjeu la regarde fréquemment.
C’est l’échauffement, pour la première fois Léa voit son mari faisant l’aller et le retour sur la largeur du terrain.
Je vois que sa femme le regarde, c’est beau l’amour surtout quand elle lui fait des petits gestes discrets de la main pour éviter que l’on nous remarque.
Justement pour éviter de nous faire remarquer nous nous sommes installés à un bout de la tribune.
À l’autre les supporters de notre ville sont là faisant grand bruit.
Ça s’insulte entre les plus ultras des deux villes.
Ceux de Saint-Bernard ont une grosse caisse.
Elle doit arrêter de faire du bruit, un poing passant à travers la peau la faisant éclater.
Nous avons bien fait de nous éloigner, je sens que le coup de poing aurait été obligatoire bien qu'avec ma carrure et ma force je suis un pacifiste.

Retour au vestiaire, Luis sort, regarde sa femme, mouvement de la main de cette dernière vite réfrénée car un vieux du club adverse regarde dans notre direction.
Les joueurs se saluent, je vois Luis parler à l’oreille d’un joueur adverse.
Léa marmonne pour éviter d’être entendu.

- Ça va mal finir entre eux, Pedro c’est son nom, jouait avec Saint Martin l’an dernier.
Ils jouaient tous les deux arrière gauche et étaient en concurrence.
Pedro était la plupart du temps sur le banc et une rancœur s’est établie entre eux.
À la fin de la saison, ils en sont venus aux mains dans le vestiaire un soir d’entraînement.
Il fallait que l’un d’eux quitte le club, tu vois qui l’a fait.

Le match démarre, j’ai bien vu quelques images de foot à ma télé, mais les règles me sont inconnues.

- Oh ! hisse, enculé.

Ça doit tous être des homos dans ces équipes de foot.

- Arbitre enculé, arbitre enculé.
Aux chiottes l’arbitre.

Même l’homme en noir doit faire partie de cette caste car chaque fois qu’il siffle pour les uns et pour les autres il se fait traiter de PD.

- Sont-ils toujours véhéments les uns envers les autres ?
- Oui, et encore là ce n’est rien, l’arbitre tient bien les deux équipes, c’est le numéro un de notre district, un moins expérimenté aurait déjà perdu la main.

Chaque fois que nous parlons à l’oreille de l’autre, mes yeux se portent sur les cuisses de Léa.
Pourtant elle les tient fermement serrées l’une contre l’autre.
Elle a raison.
Un peu plus bas, un jeune de Saint Bernard tourne fréquemment la tête.
Espère-t-il qu’elle écarte ses cuisses et qu’il voit sa fourche.
Elle pourrait si elle était exhibitionniste, mais jusqu’à la mi-temps, il en est pour ses frais.

Mi-temps, zéro à zéro.

- Tu vois ça se passe bien Léa, rien entre ton mari et le dénommé Pedro.
- Par chance, ils jouent chacun du côté gauche des défenses et sont rarement en contact.
Emmène-moi à la buvette, ou va me chercher un soda.
- Je vais te chercher à boire, inutile de prendre des risques en nous mélangeant à tous ces excités.
- Contrairement à ce que pense mon mari, je sais me défendre, bon va.

Le temps de me faire servir, je retourne presque dix minutes après vers ma copine.
Je la trouve entourée de trois gars portant les couleurs du club qui nous oppose.

- Dommage, les gars, je suis là, veuillez me laisser la place.

Luis avait raison, ma carrure doit les impressionner car c’est une volée de moineaux qui détale me laissant la place.
Je donne son soda à Léa et je reprends ma place.
Les joueurs et l’enculé, pardon, l’arbitre reviennent le match va reprendre.
Luis est près de nous, les deux équipes ont changé de côté.
Il y a dix minutes que le match a repris, la tension est perceptible, une étincelle, tout peut s’embraser.

- Christian, j’ai besoin d’aller faire pipi, tu m’accompagnes.
- Bien sûr, je suis ton garde du corps.

Quand elle se lève et commence à descendre la dizaine de marches de la tribune, le jeune supporter doit être récompensé de ses attentes, il doit voir la petite culotte de la jeune femme.
Quand je passe près de lui, il est rouge comme pourrait l’être un jeune puceau, ce qu’il doit être.
Toilettes dames.
Toilettes hommes.
Elle entre, comme un chevalier servant protégeant sa dulcinée je monte la garde.
Une grande clameur vient du terrain.
Il a dû se passer quelque chose.
Des éclats de voix et au fond du couloir menant aux toilettes je vois passer le dénommé Pedro tapant dans tout ce qu’il voit.

- Enculé d’arbitre, j’aurais dû lui casser la gueule.

J’entends une porte claquée.
Une autre s’ouvre, une main prend ma main et me tire à l’intérieur.
Léa est assise sur la lunette, j’ai le temps de voir qu’elle a posé du papier toilette tous autour de la lunette bien que les waters semblent proprement entretenus.
Avant que je comprenne Léa descend mon pantalon de survêtement sortant ma queue.
Elle la tient d’une main me faisant déjà bander.
Sa bouche suit, c’est chaud et doux.
La sucette, j'ai donnée, est-ce l’endroit ou la foule qui hurle et qui tape du pied au-dessus de nous, je bande comme un malade.
Je la relève, elle me tend ses lèvres que je préfère ignorer.
Elle veut du sexe de son garde du corps, elle va en avoir.
Malgré l’exiguïté des lieux, je la retourne.
Elle pose ses mains sur le papier toilette et lui fait écarter les jambes.
Du sexe elle en veut, ma bite trouve son chemin sans problème, tellement elle mouille.
Faire l’amour, non, nous baisons, nous forniquons.
Je la prends comme une chienne qu’elle devait être avant son mariage et maintenant qu’elle le redevient.
Ou depuis le début, fait-elle porter des cornes à son mari, comme nous le faisons en ce moment.
Je la pilonne et je l’entends geindre de plaisir.
Au-dessus de nous le bruit est assourdissant.
Ça nous permet de crier notre plaisir, elle quand elle a un orgasme que je sens bien au bout de ma queue et moi quand je lui remplis le con, lâchant de grandes giclées de sperme me semblant sans fin.

Je me suis rajusté, j’ai quitté les toilettes pendant qu’elle en faisait de même.
Au moment de fermer la porte pour l’attendre, j’ai vu qu’elle récupérait du papier sur la lunette et s’essuyait la chatte.
Une fois prête nous sommes retournés vers la tribune.
1 à 0 pour Saint Martin.
La tribune est éteinte.
C’est vrai depuis quelques minutes le vacarme avait faibli.
Seuls ceux de chez nous buvaient leur bière en hurlant.
Il reste quelques minutes, nous restons le long de la main courante séparant le terrain des spectateurs.
Pedro passe plusieurs fois près de nous et a une banane qui fait plaisir à voir.
L’arbitre siffle la fin du match.
Pedro court vers nous et tombe dans les bras de sa femme.
Il l’embrasse là où il y a peu j’ai mis ma verge.

- Chérie où vous étiez, on a gagné 1 à 0, c’est moi qui ai mis le but de la victoire.
- Christian en bon garde du corps m’a accompagné jusqu’aux toilettes, j’avais un petit besoin.
- Tu te rends compte, j’ai eu une veine de cocu, Pedro est venu de mon côté défendre et m’a littéralement fauché !
L’arbitre l’a expulsé.
J’ai cru qu’il m’avait cassé une jambe, mais tu me connais, j’ai serré les dents.
Quelques minutes plus tard, je suis monté de mon côté, j’ai voulu centrer, le vent a pris le ballon qui est parti dans la lucarne.
Je te le dis encore une chance de cocu.

J’ai accompagné celui qui avait marqué et qui se disait avoir eu une chance de cocu une partie de la soirée avant de saluer Léa.
Elle va rentrer avec les joueurs et je retourne chez moi satisfais de ma journée.

La semaine suivante, je suis sortie en boîte, dans une discothèque à mi-chemin de Saint Bernard et de Saint Martin.
J’ai rencontré Radia, petite franco-marocaine, beurette que je vais bientôt demander en mariage.
J’ai déjà acheté la bague qu’elle m’a insidieusement montrée lors d’une balade dans la rue piétonne.
Une chose est sûre, le sport très peu pour moi, balade en forêt, shopping, repas chez mes beaux-parents.
Surtout quand j’appelle Luis pour les invités à notre mariage.
Il m’apprend une nouvelle.

- Léa est enceinte Christian, nous avons conçu notre bébé dans le car qui nous ramenait après la fête de la victoire.

La salope, elle s’est fait baiser devant tous les autres joueurs et en plus est-il certain d’être le père.